• D'AUTRES CITATIONS SPIRITUELLES. À MÉDITER...!

     

     

    Merci à magfo.centerblog.net pour cette très belle image! 

     

    THICH NHAT HANH, LOVE IN ACTION: WRITINGS ON NONVIOLKENT SOCIAL CHANGE

    "Nous pensons que nous avons besoin d'un ennemi. Les gouvernements se démènent pour instiller en nous la peur et la haine afin de nous rallier derrière eux. Si nous n'avions pas d'ennemi réel, ils en inventeraient un pour nous mobiliser.

    Le sort du monde repose-t-il entre les mains du gouvernement? Si le président menait la bonne politique, la paix règnerait-elle? Non.

    Notre vie quotidienne peut influer sur la situation mondiale. Si nous réussissons à modifier notre quotidien, nous changerons nos gouvernements et bouleverserons le monde.

    Présidents et gouvernements émanent de nous-mêmes. Ils reflètent notre mode de vie et notre façon de penser. Notre manière de tenir une tasse de thé, de ramasser un journal, et même d'utiliser du papier toilette a un rapport avec la paix."


    CHERYL RUSSEL, DÉMOGRAPHE, SAN FRANCISCO CHRONICLE

    " Les conflits actuels ne doivent pas servir à mesurer les effets à long terme du bouleversement qui s'opère dans la composition raciale de notre pays. [...] Nous sommes manifestement dans une période de transition et certains, lorsqu'ils observent les polémiques autour de la discrimination positive, pensent que de graves conflits nous attendent. Mais, en réalité, le niveau de tolérance envers les autres s'élève constamment aux Etats-Unis. On ne le dit jamais, mais toutes les enquêtes le montrent.

    Les jeunes sont déjà habitués à vivre dans une société pluraliste, et leurs enfants y seront encore plus à l'aise."


    FRAN PEAVEY, AVEC MYRNA LEVY ET CHARLES VARON, "US AND THEM", DANS METTING THE SHADOW: HIDDEN POWER OF THE DARK SIDE OF HUMAN NATURE, SOUS LA DIRECTION DE CONNIE ZWEIG ET JEREMIAH ABRAMS

    "[...] Au lieu de me fixer sur les 52% supposés "diaboliques" de mon adversaire, j'ai choisi de m'intéresser aux 48% restants, en partant du postulat que, chez chacun de mes adeversaires, un allié sommeille. Il peut se montrer silencieux, hésitant ou je peux avoir du mal à l'identifier. Il éprouve peut-être seulement des sentiments ambivalents, des doutes, sur la moralité de son travail. De tels doutes ont rarement la chance de s'épanouir car le contexte social pèse lourdement sur cet interlocuteur et qu'il doit rendre des comptes. 'Ma' capacité d'être 'son' allié est donc également limitée par de telles pressions. [...]

    [...] Traiter nos adversaires comme des alliés potentiels ne signifie pas pour autant accepter aveuglément leurs actions. Nous nous sommes fixé un défi: nous désirons faire appel à l'humanité à l'intérieur de chacun d'eux, tout en nous préparant à toutes les réactions possibles. Nous voulons trouver une voie entre le cynisme et la naïveté."


    ROBERT MONROE, THE ULTIMATE JOURNEY

    "Je me suis aperçu que j'étais loin d'être courageux. Peut-être n'avais-je pas conscience de ces peurs, mais elles étaient bien là, et se traduisaient par d'énormes explosions d'énergie brute [...]. Il y avait les anciennes peurs, mais aussi de nouvelles qui affluaient constamment. Cela pouvait concerner de petits problèmes, par exemple, devant une journée de pluie, en pensant aux zorglubséquences sur mes projets de construction, mais aussi des questions majeures comme mes appréhensions concernant l'évolution du monde." [...] J'avais davantage de peurs qui desparaissaient que de peurs nouvelles suscitées par mon activité actuelle. En même temps vint une révélation majeure: [quand j'étais dans la dimension spirituelle] j'avais institué ce processus et cherché à faire disparaître la peur. Aucune source extérieure ne m'aidait, comme j'avais eu le tort de le supposer. Je m'aidais moi-même."
    _________________

    MARK BRYANT, ENTREPRENEUR CALIFORNIEN

    "Certains cadres s'intéressent beaucoup à cette nouvelle façon de faire des affaires -- à la spiritualité dans les entreprises, mais ils ne peuvent pas toujours la mettre en pratique étant donné la nature des mécanismes en place. Ils subissent aussi une énome pression car on exige qu'ils obtiennent des résultats à court terme. Si les résultats d'une société sont mauvais durant deux trimestres, le P.D.G. sera probablement liciencié par le conseil d'administration. Le pouvoir réel de la compagnie réside en fait entre les mains des actionnaires.

    [...] Comment puis-je faire des affaires et, en même temps, progresser spirituellement, psychologiquement et financièrement?

    [...] Il y a vingt ans, je travaillais dans une très grosse société et j'utilisais tous les outils psychologiques disponibles dans le département des ressources humaines -- surtout des profils de personnalité -- pour mieux me comprendre. Mais je sentais que j'avais besoin d'autres types de méthodes qui me donneraient une image plus ample de moi-même. Mon intuition m'a conduit à la métaphysique. Je sais que cela peut paraître bizarre pour un chrétien et un cadre qui a toujours travaillé dans le milieu des grandes entreprises, mais la métaphysique m'a semblé plus profonde que la psychologie. Tout en étant intéressé par un regard intérieur, je trouvais utile de travailler avec d'autres gens pour m'évaluer. C'est ce qui a déclenché ma passion pour la métaphysique. Il faut savoir que l'on n'est pas obligé de suivre cette route tout seul.

    [...] Tout d'abord, mon sentiment de vitalité et de finalité a considérablement augmenté. Je me connais davantage maintenant, et donc je sais mieux si une affaire va marcher pour moi à long terme. Aujourd'hui je laisse passer des occasions sur lesquelles je me serais précipité il y a quelques années ou bien que j'aurais regrettées. Je fais davantage confiance à mon intuition, et cela m'a rendu plus efficace. Bien que j'aie du mal à exprimer avec des mots ce que je ressens, j'ai l'impression d'être beaucoup plus à l'aise dans tout ce que je fais.

    [...]beaucoup de cadres dans les grandes entreprises commencent à se sentir piégés. Avec les menaces permanentes de dégraissage, ils ont le sentiment de ne plus avoir aucun contrôle sur leur destinée, quelles que soient leurs performances ou compétences. Ils sont extrêmement déçus par le monde des grosses entreprises, et commencent à se demander s'ils ne vont pas monter une affaire en franchise, fonder leur propre société ou exercer en indépendants comme consultants d'entreprises. Mais il ne suffit pas de changer sa situation externe. Si l'on ne change pas la façon de se voir soi-même, on risque de ne pas se sentir totalement satisfait. Il faut travailler sur soi-même -- se créer un sentiment de sécurité intérieure en découvrant qui l'on est réellement --, sinon on sera de nouveau déçu, même si l'on est cadre dans une petite société, quelle qu'elle soit. Aucune entreprise n'est à l'abri de la rigidité, d'une hiérarchisation excessive ou d'une ambiance malsaine. Quelqu'un qui veut devenir son propre patron peut en même temps éprouver le désir contradictoire d'être pris en charge. [...]

    [...]vous devez prendre conscience de vos talents et découvrir comment les exploiter, plutôt que souhaiter devenir quelqu'un d'autre. Je remarque que beaucoup d'individus tendent à sous-estimer leur personnalité et leurs capacités. Ils voient leurs 'manques extérieurs', du type "Je ne peux pas créer une entreprise, parce que je n'ai pas de diplômes", au lieu de se demander: "Qu'est-ce que je veux vraiment?" Ils se laissent circonscrire par leurs jugements sur eux-mêmes, par leur ombre. Ils n'observent pas leur vrai moi, ils ne voient que leur image extérieure.

    [...]j'ai découvert que le fait d'utiliser ses talents est un processus évolutif. Par exemple, je sais que je suis plutôt du genre "visionnaire/réalisateur", mais que je ne suis pas un bon "producteur". Donc, je me suis associé avec quelqu'un qui est un très bon organisateur. C'est une association quasi matrimoniale qui marche très bien car nous sommes tous deux conscients de nos points forts. Analysez vos forces et vos faiblesses, cherchez quelqu'un qui vous complète, pous parachever le tableau, et votre travail atteindra une efficacité maximale.

    [...]je sais que cela peut paraître bizarre, j'ai découvert que, depuis que je me pense comme une âme, je ne me sens plus piégé par la culture économique dominante. Vous devez ressusciter l'âme que vous aviez durant votre jeunesse. Lorsque vous étiez un enfant, vous pensiez de façon beaucoup plus libre à propos de vous-même. Tout était possible. Les enfants n'ont pas de limites parce qu'ils raisonnent encore au niveau de l'âme sans que leur esprit soit encombré par tous les dogmes institutionnels et culturels.

    Je pense que les conceptions métaphysiques et spirituelles modifient certainement notre façon de travailler et de penser notre gagne-pain. Mais ce langage est nouveau pour la plupart des hommes d'affaires. Au cours des dernières années nous avons reçu beaucoup d'informations sur la façon de devenir de bon managers (de bons contrôleurs de gestion) et sur les vertus de décentralisation. Tout cela est très pragmatique. mais ce qui compte le plus, c'est de procéder à des changements à l'intérieur de soi -- non d' 'utiliser', de l'extérieur, les techniques spirituelles pour gagner encore davantage d'argent. La véritable transformation s'opère dans la façon dont vous vivez votre vie au travail et dont vous travaillez 'avec' la vie."


    MATTHEW FOX DANS TOWARDS A NEW WORLD VIEW, SOUS LA DIRECTION DE RUSSEL E. DICARLO

    "Je fais la distinction entre boulot et travail. Un boulot est une activité à laquelle nous nous livrons pour gagner notre vie et payer les factures, mais un travail représente la raison pour laquelle nous nous livrons pour gagner notre vie et payer les factures, mais un travail représente la raison pour laquelle nous sommes sur terre. Cela concerne notre coeur et la joie, et tous les mystiques l'ont dit. Orientaux et Occidentaux ont écrit à ce sujet. Le "Tao-te ching", les Ecritures chinoises, conseille: "Dans le travail, fais ce qui te plaît." L'idée qu'il existe une conection entre le travail et la joie est nouvelle pour beaucoup de gens parce que, dans l'univers mécanique de l'âge industriel, la joie était loin de représenter l'une des valeurs principales [...].

    Nous avons défini le travail d'une façon si étroite pendant l'époque de l'industrialisation que nous avons négligé ses autres aspects: le travail sur ses émotions, l'art, les soins, les fêtes et les rituels; dans les communautés saines, toutes les activités sont considérées comme du travail. Dans les sociétés primitives, les hommes passent au moins la moitié de leur temps à faire la fête et organiser des rituels. Nous y avons renoncé et la violence s'est largement répandue dans notre civilisation.

    Je m'occupe beaucoup aujourd'hui de jeunes [...], j'utilise le rap, la house, la techno et la danse -- et ces formes d'expression actuelles, aux marges de la culture jeunes et de la culture urbaine, permettent de redécouvrir les vertus de la fête. C'est un phénomène positif, très utile. La fête est à la fois la manière la plus amusante et la plus économique de soigner les gens.


    DR MIRON BORYSENKO AU COURS D'UNE CONFÉRENCE A MONTREAL, ORGANISÉE PAR L'INSTITUT INTERNATIONAL DES SCIENCES HUMAINES INTÉGRALES

    "Si vous élevez des oiseaux dans une cage et que vous ouvriez la porte, ils ne la quitteront pas. C'est également vrai pour les êtres humains qui désirent fortement changer, mais ne se font pas suffisamment confiance pour accomplir les efforts demandés par ce changement. L'endroit où vous vous trouvez est peut-être minable, mais au moins vous vous y sentez en sécurité.


    MATTHEW FOX DANS TOWARDS A NEW WORLD VIEW, PAR RUSSEL E. DICARLO

    "Pour mon test, je pose deux questions très simples: "Quel plaisir retirez-vous de votre travail?" et "Quel plaisir les autres retirent-ils de votre travail?" [...]. Nous avons besoin d'emplois, mais le principal est de savoir comment les autres tirent profit des bienfaits de notre travail. Parce que c'est vraiment cela, le travail, pour les êtres humains - c'est un bienfait rendu pour un bienfait.

    C'est notre façon de remercier la communauté pour son soutien, et c'est pourquoi le chômage a des effets si catastrophiques sur l'âme humaine. Il crée le désespoir, et qui dit désespoir dit haine de soi, violence et criminalité.

    Contre ces fléaux nous construisons beaucoup de prisons dans ce pays. Il serait beaucoup plus économique et plus simple d'organiser un grand débat national pour se demander ce que Gaïa, la terre, nous demande. Il y a toutes sortes de tâches -- de nouvelles tâches -- à accomplir sur nos émotions collectives, si nous voulons introduire la justice écologique et sociale dans notre monde.

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 4 Octobre 2017 à 23:30

    COMMENTAIRE CENTERBLOG:

    robert87300 le 03/06/2016

    Bonjour, Beaucoup de brouillard ce matin chez nous sur LIMOGES, tres épais, Nous te souhaitons un bon Vendredi @+; angel et robert 

    http://robert87300.centerblog.net

     

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